LE TARIF DES TRANSPORTS SCOLAIRES POUR LA RENTREE.
Voici une copie d'un article de la nouvelle république de fevrier 2016. Il a semblé aux parents présents lors de la dernière réunion nécessaire d'informer des hausses importantes dont nous allons être l'objet à la rentrée pour un certain nombres d'entre nous.
Certains parents ont souhaité que nous initions une déamrche pour savoir si nous, parents, membres des APE et collectivités locales des deux-sevres ne devrions pas nous unir pafin de réflechir à la manière dont il nous est possible d'agir pour éviter cette hausse pénalissante pour les familles.
L' APE attend vos commentaires pour savoir comment se positionner. en vous souhaitant bonne lecture....
""En 2016, le forfait annuel transport scolaire pour les collégiens va passer de 45 € à 125 €. Et toujours dans les collèges, les familles devront payer 30 centimes de plus le repas à la cantine. Des décisions qui, hier, ont cristallisé le débat entre majorité et opposition. « Nous sommes d'accord sur la gravité de la situation financière et sur ses causes, mais en désaccord avec vos choix pour y remédier », critique le socialiste Rodolphe Challet.
1,7 M€
Certes, la majorité de droite remplit sa promesse de ne pas augmenter la fiscalité, mais pour que cette promesse soit tenable, elle augmente les tarifs supportés par les Deux-Sévriens. Ce qu'on choisit de ne pas prendre dans la poche du contribuable, on va le chercher dans celle des familles : c'est le reproche adressé par l'opposition de gauche qui chiffre à 1,7 M€ la ponction sur le pouvoir d'achat. « Une erreur stratégique », juge Rodolphe Challet.
" 30 centimes, c'est le prix d'une cigarette ! "
« Nous n'avons clairement pas la même vision du monde. Il n'est pas anormal de demander 30 centimes de plus par jour pour un repas », rétorque Gilbert Favreau. Qui veut relativiser l'effort demandé. Un repas à la cantine coûte à la collectivité 8,50 € à fabriquer. Là-dessus, les familles paient entre 1,05 € et 4,20 € selon les cas, puisqu'un système de quotient familial permet de moduler en fonction des revenus. « Trente centimes, c'est le prix d'une cigarette ! Il n'y a pas de quoi s'offusquer quand on connaît le contexte financier », s'insurge Gilbert Favreau.
Quand au forfait transport scolaire, le président du conseil départemental, là aussi, tire argument du coût réel du service rendu : transporter un collégien coûte chaque année 730 €. Autrement dit, même avec un forfait à 125 €, on est loin du compte : « Cent vingt-cinq euros par an, c'est 50 centimes la journée. Dites-moi s'il y a de quoi pousser des cris d'orfraie. Les difficultés financières justifient cette décision ».
Mais au-delà des chiffres, ce sont bien deux visions qui se sont nettement affrontées hier : pour financer des services publics, est-il plus juste et efficace d'augmenter les impôts ou les tarifs ?""Accédez à l'intégralité de cet article sur www.lanouvellerepublique.fr du 09/02/2016 05:35
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